Initié en 2006, alors qu’elle vivait encore au Portugal, le projet de Raubdruckerin innove dans son genre ! Ce projet de gravure expérimentale utilise des structures urbaines telles que des plaques d’égout, des grilles pour créer des motifs graphiques et uniques d’une ville à l’autre, et en faire des éléments à porter sur soi, « comme une empreinte de la ville ».

Grâce à cette démarche, le projet nous incite à explorer toute la diversité de nos villes, à prêter attention aux moindres détails de notre environnement urbain, « à la recherche de détails négligés et apparemment insignifiants sur le trottoir, qui se révèlent être de véritables pièces de design urbain. ».

Régulièrement, Raubdruckerin organise des ateliers participatifs au cœur de l’espace public, lors de festivals, de fêtes de quartier, et invite les passants à venir participer à cet « art de rue inversé ». Car c’est ainsi que Raubdruckerin et toute l’équipe envisagent leur projet : « Une partie de la ville est extraite de son origine et redynamisée dans un contexte différent. En véhiculant l’image, les gens deviennent eux-mêmes partie intégrante du projet. »

Si vous souhaitez en découvrir plus sur le projet de l’équipe Raubdruckerin, retrouvez plus d’infos sur leur site, ou soutenez-les en vous abonnant à leurs actualités sur leur compte Instagram en cliquant sur la photo ci-dessous :

Raubdruckerin