Comme dans de nombreuses villes françaises, les services de vélopartage sont devenus une alternative d’envergure dans la mobilité urbaine. Par le biais d’abonnements (annuels, mensuels, hebdomadaires…) ou par le biais de locations au compte-goutte, les vélos en libre-service permettent d’assurer un maillage de transports respectueux de l’environnement, disponible pour les citadins et les visiteurs.
Cette démarche de promotion des modes de déplacement doux s’inscrit à Nice dans une démarche globale de mobilité durable. En plus des 35 % de pistes cyclables, la ville sensibilise au mieux à la réduction des gaz néfastes en utilisant des véhicules électriques, ou en favorisant des méthodes alternatives de déplacement. Par exemple, le transport scolaire n’est plus seulement assuré par des autobus, mais aussi par la marche à pieds : c’est le pedibus !
Nice semble donc encore être un exemple de ville qui prend au sérieux la transition énergétique en milieu urbain, en tout cas par le prisme de la mobilité. C’est déjà un bon moyen de sensibiliser la population à être davantage responsable !