Vieux d’environ 2 000 ans, les mandalas sont des supports de méditation bouddhistes. Créés par les moines bouddhistes, ils représentent de manière symbolique l’énergie et le fonctionnement de l’univers. Ils illustrent un complexe d’interactions entre centre et périphérie. La logique peut s’appliquer à une multitude d’éléments allant du système solaire au soi intérieur. Parmi eux, le système peut s’appliquer à la ville.
Pour beaucoup, les mandalas ont une valeur artistique de par leur complexité et leur minutie. L’artiste américain Neal Peterson a voulu adapter le jeu des échelles urbaines à cette expression artistique. En traversant les plus grandes villes mondiales, Neal Peterson a cherché les détails de l’architecture pour les assembler et créer des mandalas urbains.
Son travail consiste à prendre des photos au cours de voyages. Il y repère des éléments d’architecture qu’il assemble, non pas avec du sable, mais avec des pixels. Ses compositions kaléidoscopiques dépeignent les plus grandes villes du monde. De Chicago à Pyongyang en passant par Vancouver, Neal Peterson nous en fait voir de toutes les couleurs. Bonne découverte !
Si vous voulez en savoir plus sur l’intégralité de son projet, rendez-vous sur son site internet, son Facebook ou son Intagram en cliquant sur l’image ci-dessous :