Inspiré tout jeune par les projets photographiques de David LaChapelle ou encore de Gursky, le peintre photographe Didier Fournet nous dévoile un visage de Paris jusqu’à lors méconnu. À l’aide de son Hasselblad numérique, l’artiste a su trouver une écriture artistique pour « vaincre le temps qui s’écoule comme la Seine devant ses yeux ».
Bien avant les premières représentations filmographiques de la courbure du temps, dont les plus connues sont dans Interstellar, le jeune artiste Didier Fournet pliait et collait déjà ses clichés sur son ordinateur.
C’est donc un Paris hors du temps qui nous est proposé de découvrir à travers l’objectif de l’artiste. Un temps maîtrisé et contrôlé par le photographe permettant de se projeter dans un univers onirique qui pousse à la rêverie et la réflexion :
« Au fil des conversations hors du temps, son âme développe ses impressions pour que les feuilles des arbres, comme les bras des passants ou les toits de la ville s’embrassent dans une vibration évidente ou dans un coït platonique sous les feux du ciel. »
N’hésitez pas à continuer de suivre le travail artistique et photographique de Didier Fournet sur son site internet ou sur son compte Instagram en cliquant sur la photo ci-dessous :
