Londres, en noir et blanc. Le jeune photographe ukrainien Dmitry Stepanenko s’est plu au cours de sa carrière de photographe, à capturer avec un esthétisme à toute épreuve, le caractère propre à de nombreux pays. Après avoir voyagé en Asie et aux Etats-Unis dont il sut brillamment faire ressortir les couleurs, l’artiste s’installa définitivement au Royaume-Uni. La contrée deviendra alors le principal sujet de son étude et la capitale londonienne, le cœur de son travail. Des rues, des habitants, des usagers, du mouvement, des bars accueillants, un marché, des plages animées : le photographe capte l’instant.
À travers des clichés, pourtant on ne peut plus contemporains et non mis en scène, découvrez dans les rues de la vieille Angleterre un style rétro encore bien conservé et intact, qu’une qualité de photo inestimable révèle avec justesse.
Le photographe ne capte pas toujours le sourire d’un sujet, ni même son portrait : des ombres ou une silhouette suffisent. La qualité de son art réside dans sa capacité à ne pas saisir un simple mouvement en action, mais à l’associer à un geste, un regard au loin, des cheveux éventés… La beauté de son art réside dans sa volonté de peindre nous seulement un sujet, mais à l’immortaliser dans l’entièreté de son contexte que la photographie semble toujours nous raconter. Plusieurs sentiments s’entremêlent dans la contemplation de ces clichés : une grande sérénité que le noir et blanc et le caractère épuré du tableau nous impose, mais aussi une inéluctabilité. La vie urbaine, à travers ces clichés, suit son cours dans toutes ses dimensions, dans chacun de ses contextes.
L’artiste se définissant comme un Street photographer, il fait donc des rues de Londres un véritable terrain d’expérimentation où il expose les plus beaux tableaux du pays.
Les voilà, les rues de la capitale anglaise comme vous ne les avez jamais vues….
Et n’hésitez pas à soutenir Dmitry Stepanenko sur son compte Instagram ou encore son site internet.
Toutes les photos ont été utilisées avec l’aimable autorisation de ©Dmitry Stepanenko
