Ces problématiques sont aujourd’hui grandement liées à d’autres enjeux, climatiques et sociaux entre autres, dont les citoyennes et citoyens s’emparent à une échelle individuelle. Et cela à travers de nombreuses actions et initiatives, notamment par la mise en place d’une forme d’autodiscipline, qui peut, pour certaines personnes, devenir une réelle charge mentale. Finalement, l’aménagement urbain ne pourrait-il pas être un soutien ? Comment intégrer ce nouvel enjeu au sein de nos villes ?

L’autodiscipline se définit par un ensemble de règles qu’un individu applique à soi-même, par ses propres moyens et sans intervention d’une personne tierce. Elle entraîne naturellement certains comportements, voire des actions concrètes, relatives à des thématiques très variées. Elle se manifeste, par exemple, chez des personnes engagées contre le changement climatique, décidant de contribuer, à une échelle individuelle, à la transition de nos villes. Elle est également mise en place, depuis maintenant de nombreux mois, par des personnes soucieuses de lutter contre la propagation de la Covid19. Bien que l’autodiscipline incarne parfois une forme de choix et de liberté pour une catégorie de personnes, elle peut tout autant être assimilée à une forme de moralisation, de culpabilité, voire de charge mentale supplémentaire pour d’autres.

L’autodiscipline : liberté individuelle ou nouvelle contrainte urbaine ?

Pour un grand nombre de personnes, l’autodiscipline représente avant tout un moyen, un outil, pour réagir individuellement, et généralement localement, à une problématique bien plus globale.

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