A terme, l’association voudrait investir 1 400m2 de toits. L’initiative est à la fois sociale, économique, solidaire et expérimentale. Depuis que les premières pousses sont sorties de terre, Lyon a vu refleurir des légumes disparus de la région depuis 1945 et le début de l’industrialisation lyonnaise.

Choux de Bruxelles, navets noirs,.. L’ensemble de ces espèces devrait à nouveau faire parti des produits locaux. « Ces légumes présentent des qualités nutritives uniques. On en profitera pour faire des tests en condition extrême, car les terrasses sont en plein soleil, constamment balayées par le vent » expliquait Sabrina Novak, directrice adjointe du CRBA, au journal le progrès.

D’ici 2018, l’association La Marmite Urbaine voudrait proposer des paniers solidaires ainsi qu’un service de traiteur pour apprendre à nouveau à cuisiner ces variétés oubliées.

N’hésitez pas à aller découvrir cette initiative sur le site de l’association La Marmite Urbaine !