Pas de grandes villes sans grandes sneakers.
Pour le graphiste Cejimènez la place d’une basket n’est pas dans un placard, encore moins dans une boite. Non, lui, les préfère géantes, au centre de nos villes, sur les rails du métro ou dans les impasses de Tokyo.
Il décrit son projet : « L’idée est assez simple. Il s’agit de portraits surréalistes et épiques de tous les modèles de Air Jordan sortis […] Les chaussures sont classées par ordre chronologique de leur création. La couleur n’est pas nécessairement celle dans laquelle chaque modèle est sorti, mais celle qui correspond le mieux au composite sur le plan artistique. j’espère que vous apprécierez ! »
L’artiste associe ses sneakers favorites aux paysages qui leur conviennent le mieux. Retrouvez la Air Jordan 22, taille iceberg, dans l’océan arctique ou la Air Jordan 20 en plein milieu d’un carrefour chinois.
Pour les aventuriers urbains, la basket est un allié précieux. Elle protège, réchauffe, accompagne, sous la pluie, dans le métro ou sur la terre. Carlos Jimènez Varela de son vrai nom, leur rend enfin hommage. Il offre aux sneakers addicts, un monde rêvé ou les baskets sont des dieux et les villes des temples...
Le directeur créatif a aussi pensé aux graphistes en herbe. Il partage toute sa méthode de création, ainsi que l’évolution de ses œuvres dans de très courtes vidéos. Vous découvrirez alors comment les gigantesques Ovnis ont atterri chez nous.
Fan de basket, fan de métropoles ou rêveur surréaliste, le compte instagram de Cejimènez est une pépite aussi grosse que ses chaussures. N’hésitez pas à aller y faire un tour ici, découvrez aussi toute l’ampleur de son travail sur son site web ici.
