Dans notre belle capitale, à Paris, la moitié de l’espace public est réservé à la voiture, ce qui représente 1600 hectares attribués à leur circulation ou leur stationnement. Les périphéries urbaines sont aussi touchées par ce phénomène, notamment avec la démocratisation des centres commerciaux qui engendre l’expansion de ces nappes de parkings.
Voici quelques clichés qui donnent à voir la place que peut prendre la voiture en ville, laissant un vaste vide lorsque les lieux de stationnement sont désertés. Notre mobilité a un impact sur la pollution atmosphérique, mais elle a aussi cette conséquence, celle de créer des étendues immenses de terres artificialisées qui l’été sont d’immenses îlots de chaleur urbain, et qui viennent remplacer des espaces autrefois naturels. À méditer …