• Exproprier les entreprises du secteur nucléaire et les placer sous le contrôle de la population : trop de danger pour que la population ne soit pas concertée.
  • Légiférer pour obliger à la rénovation énergétique d’ici à 2040, une loi pour obliger à la rénovation énergétique des logements d’ici à 2040 et à la rénovation globale des passoires thermiques d’ici à 2030.
  • Atteindre la neutralité carbone en 2050 avec une forte croissance de la production électrique, en investissant dans les énergies renouvelables (le solaire, l’éolien et surtout l’hydraulique) et dans l’électricité nucléaire avec la construction d’au moins six EPR. 
  • Relancer le projet Astrid visant à fabriquer un réacteur nucléaire de quatrième génération.
  • Proposer une prime à la conversion de 10 000 euros pour une voiture propre.
  • Sortir la France des énergies fossiles
    • Fermeture en cinq ans des centrales électriques à charbon en concertation avec les exploitants pour assurer la reconversion des sites.
    • Aucune nouvelle attribution d’exploration d’hydrocarbure.
    • Intégration du coût écologique dans le prix du carbone en augmentant la taxe carbone pour atteindre 100€/tCO2 en 2030.
  • Accélérer nos mutations vers une production d’énergie équilibrée et sans carbone.
    • Financer le développement d’énergie renouvelable : doubler la capacité en éolien et en solaire photovoltaïque. 
    • Encourager l’investissement privé pour mobiliser 30 milliards d’euros d’investissements : raccourcir et simplifier ​​les procédures de déploiement des énergies renouvelables.
    • Réduire la dépendance à l’énergie nucléaire et maintenir le cap de 75 à 50% de l’énergie nucléaire d’ici 2025.
  • Accompagner les transitions 
    • Accorder des fonds aux régions en contrepartie de leur engagement à réduire leur empreinte écologique et à créer des emplois en lien avec la transition.
  • Miser sur les énergies renouvelables 
    • Stopper l’éolien.
    • Développer la recherche fondamentale sur l’énergie photovoltaïque afin de vérifier sa viabilité et sa rentabilité.
    • Développer l’énergie solaire avec pour objectif de créer des centrales solaires.
    • Développer l’énergie de la mer (houle, écart thermique entre la surface et les grands fonds…), exploiter l’atout précieux de notre littoral.
  • Préparer la transition énergétique du nucléaire : rénover et prolonger de 25 ans les centrales en fin de vie. Développer les centrales nucléaires de quatrième génération et  investir dans l’énergie de demain avec la fusion.
  • Lancer la construction de trois nouveaux réacteurs EPR, en plus de la révision et de la modernisation des centrales existantes.
  • Arrêter tout nouveau projet éolien et solaire maritime ou terrestre, trop coûteux.
  • Subventionner le remplacement des chaudières au fioul grâce aux fonds initialement prévus pour les éoliennes maritimes qui s’élèvent à 25 milliards d’euros.
  • Revenir à une politique énergétique rationnelle fondée sur le nucléaire :
    • Supprimer l’objectif de réduire à 50 % la part du nucléaire dans notre mix électrique en 2035 et allonger la durée de vie du parc existant à 60 ans au moins.
  • Stopper la fermeture prévue des 12 réacteurs nucléaires annoncée pour 2030.
  • Assurer le renouvellement de notre parc nucléaire et accompagner la hausse de la demande d’électricité en lançant un programme de construction d’au moins 14 nouveaux réacteurs nucléaires EPR2 à horizon 2050.
  • Soutenir le développement des réacteurs de petite taille SMR (Small Modular  Reactors) afin de disposer d’un modèle prêt à construire d’ici la fin du quinquennat.
  • Relancer la recherche dans le nucléaire du futur comme les réacteurs de 4e génération (programme ASTRID) et la fusion nucléaire (projet international ITER).
  • Imposer le nucléaire à l’échelle européenne comme étant le principal outil dans la lutte contre le réchauffement climatique.
  • Garantir le développement des énergies renouvelables sans aucun détriment au paysage et finances français :
    • Mettre fin à tous les projets d’éoliennes actuels et futurs, sur terre comme sur mer.
    • Investir dans des installations hydroélectriques afin de continuer à développer notre  première source d’énergie renouvelable.
    • Empêcher l’ouverture à la concurrence de nos barrages hydroélectriques.
  • Encourager les technologies pour réduire la dépendance aux hydrocarbures :
    • Rediriger le soutien public à l’éolien vers la géothermie, le bois-énergie, les réseaux de chaleur.
    • En finir avec les passoires thermiques en investissant dans l’isolation des bâtiments résidentiels et tertiaires.
    • Décarboner les transports en combinant les différentes technologies prometteuses (batteries électriques, piles à combustible, biocarburants et carburants de synthèse pour l’aviation et le maritime).
    • Soutenir le déploiement de la filière hydrogène dans l’industrie et le transport lourd (ferroviaire, transport maritime et aérien).
    • Favoriser le déploiement de bornes de recharge de véhicules électriques sur tout le territoire.
  • Mettre en place une politique visant la réduction des gaz à effets de serre 
    • Éviter la concurrence déloyale de certains pays en exigeant la mise en place rapide au niveau européen de la taxe carbone aux frontières.
  • Bloquer les prix de l’énergie, interdire les coupures, mettre en place la gratuité des quantités d’énergie indispensables à la vie digne (chauffage, cuisson…) et une tarification progressive incitant aux économies d’énergie.
  • Arrêter les subventions aux énergies fossiles, y compris à l’étranger.
  • Interdire l’exploitation du gaz de schiste et du pétrole de schiste et de houille.
  • Supprimer les niches fiscales polluantes incitant à la consommation d’énergie fossiles.
  • Instaurer des droits de douane sur des critères écologiques (distance kilométrique, émissions carbone et pollutions, par exemple).
  • Sortir du nucléaire : planifier le démantèlement, la réhabilitation et la reconversion des sites nucléaires et de l’ensemble de leur bassin de vie avec une garantie d’emploi pour tou·tes ses salarié·es.
  • Sécuriser l’emploi des sous-traitant·es du nucléaire par l’adoption d’un statut équivalent à celui des employés d’EDF.
  • Abandonner les projets d’EPR et le projet CIGEO (enfouissement des déchets nucléaires à Bure) et s’orienter vers une stratégie de non retraitement des combustibles irradiés.
  • Réorienter le soutien à la recherche et à l’innovation vers les énergies renouvelables
  • Plus que doubler le parc éolien avec d’ici 2050, 18 500 éoliennes et 3000 en mer. 
  • Encourager le bio énergie et accroître le photovoltaïque. 
  • Créer un pôle public de l’énergie pour mener une politique cohérente, en renationalisant EDF et Engie (ex-GDF) en lien avec des coopératives locales de production et de consommation d’énergies renouvelables et en favorisant l’autoproduction et le partage des excédents.
  • Mettre en place des schémas énergétiques aux niveaux national, régional et local.
  • Utiliser le nucléaire comme « énergie de transition », la France ne pourra pas en sortir avant 2050. Plus de nouvelles constructions de nouveaux EPR.
  • Voter annuellement un budget climat pour fixer les programmations de réduction d’émission de CO2 et de décarbonation de la production d’énergie. Élargir les fonds pour soutenir les territoires de graves difficultés socio-économiques.
  • Faciliter le recours aux voitures électriques (aides à l’acquisition, système de location peu coûteux, etc.).
  • Développer l’éolien terrestre et maritime pour atteindre à terme les 100 % d’énergies renouvelables.
  • Instaurer une prime pour rénover les logements pour permettre la rénovation complète de 760 000 logements privés par an.
  • Suspension des règles de concurrence sur le marché de l’électricité pour revenir à des tarifs réglementés. Nationaliser EDF pour qu’il soit un puissant outil de transition énergétique.
  • Accompagner les territoires pour remettre les citoyens et les collectivités territoriales au cœur des projets qui touchent à l’énergie. 
  • Supprimer la possibilité d’aides publiques aux entreprises engagées dans les énergies fossiles.
  • Investir 10 milliards d’euros par an pour la rénovation des bâtiments et les services publics.
  • Sortir du nucléaire de manière responsable en ne construisant pas de nouvelles centrales et arrêtant dix centrales nucléaires d’ici 2035.
  • Interdire la vente de véhicules neufs avec un carburant fossile à partir de 2030.
  • Atteinte de l’objectif de production de 60 TWh par 12 000 éoliennes en 2027 avec la construction de 3000 nouveaux mâts en cinq ans. Développer l’éolien flottant et créer sept parcs éoliens en mer d’ici 2028.
  • Atteindre la neutralité carbone en 2050.
  • Installer 25 GW en plus du photovoltaïque d’ici à 2027 et développer la production de biométhane.
  • Refaire du nucléaire un fleuron industriel :
    • Arrêter immédiatement le plan de fermeture des 12 réacteurs et supprimer le plafond de 50% de nucléaire dans le mix électrique en 2035.
    • Confier au Parlement et non plus à l’administration le soin de la planification des moyens de production grâce à une loi de programmation : c’est une décision politique et stratégique.
    • Construire 6 EPR dont 4 à démarrer d’ici 2035 et soutenir les petits réacteurs modulaires.
    • Relancer le projet CIGEO qui permettra une meilleure gestion des déchets nucléaires.
    • Relancer le programme Astrid qui permet de préparer le réacteur de 4ème génération.
  • Obliger à ce que tous les projets éoliens se fassent uniquement avec l’adhésion de la population. 
  • Soutenir fortement tous les dispositifs qui produisent de la chaleur à partir des énergies renouvelables (géothermie, biomasse, déchets …) avec un fonds chaleur porté à 500 millions d’euros par an contre 350 millions d’euros aujourd’hui.
  • Développer les biocarburants et le biogaz en remplacement des fossiles ainsi que l’hydroélectricité avec un important effort de modernisation. 
  • Réduire le coût de l’électricité pour les Français qui réduisent ponctuellement leur consommation électrique lors des pics en créant un contrat moins cher.
  • Doubler le rythme actuel de rénovation énergétique complète des logements des Français en transférant l’ensemble des moyens aux régions, en lançant un grand plan de rénovation du parc social.
  • Lancer un grand plan de rénovation des bâtiments publics d’ici 2040, avec l’objectif d’au moins 50% de bâtiments rénovés d’ici 2030.
  • Lancer un plan de lutte contre les fuites de gaz méthane, très agressif pour le climat. 
  • Expropriation et socialisation du secteur de l’énergie.
  • Sortie des énergie fossiles et arrêt du nucléaire en 10 ans (fermeture immédiate des réacteurs de plus de 40 ans, abandon des projets d’enfouissement de déchets).
  • Développement des énergies renouvelables (100% d’ici 2050).
  • Plan de sobriété énergétique, isolation thermique de tous les logements.
  • Arrêt des productions inutiles (publicité, armement…) avec reconversion et maintien de l’emploi.
  • Conforter une énergie électrique décarbonée pour permettre d’être indépendants et innovants, tout en corrigeant ses défauts et en investissant massivement dans les énergies du futur.
  • Mettre fin à l’augmentation de la Contribution au service public de l’électricité (CSPE) et redéployer les 4 milliards gâchés dans le solaire et l’éolien sur des filières d’avenir : 3 milliards pour le grand programme d’isolation des foyers et un milliard pour les projets nucléaires et les déchets.
  • Maintenir l’actionnariat public d’EDF (l’électricité et l’énergie sont des biens stratégiques de la nation) et restituer au CEA la maîtrise de la recherche et de la technologie nucléaires.
  • Abandonner l’objectif de 50% de nucléaire dans la production électrique en 2035, maintenir le nucléaire à 70% de la production d’électricité minimum.
  • Conforter le développement des réacteurs GENERATION IV.
  • Poursuivre la recherche pour un nucléaire 100 % propre et lancer un plan de développement de la filière Thorium sur 25 à 30 ans pour prendre le relais en 2050.
  • Soutenir la recherche pure et le projet ITER pour permettre d’accéder à une énergie pratiquement 100% propre et renouvelable grâce à la fusion de l’hydrogène. 
  • Préserver l’indépendance et l’excellence de la filière hydro-électrique et maintenir la gestion des barrages dans le giron d’EDF en annulant le plan de privatisation de 150 barrages demandé par la commission européenne. Nationaliser les barrages qui auraient été privatisés entre temps.
  • Remplacer la loi transition énergétique par un seul plan pluriannuel de l’énergie.
  • Lancer un vaste plan d’équipement d’isolation thermique et phonique des bâtiments particuliers.
  • Remplacer pétrole et gaz par des énergies décarbonées : le bois-énergie, le biogaz, le solaire thermique.
  • Créer un livret d’épargne « dispositifs d’économie d’énergie ».
  • Poursuivre le développement des réseaux de transport en commun en encourageant les intercommunalités à privilégier les transports propres (Hybrides, GNL, électriques, etc.).
  • Relancer l’innovation dans le secteur automobile en favorisant le développement de moteurs hybrides rechargeables, de batteries à l’autonomie accrue…